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On a comparé la conscience naturelle à un cadran solaire qui, normalement éclairé par le soleil, indique l’heure au passant. Avant notre conversion, notre conscience ne peut nous donner d’indications fiables car elle se trouve dans le brouillard des opinions de la société au milieu de laquelle nous vivons.
Si, dans la nuit, on projette sur un cadran le faisceau lumineux d’une lampe électrique, on obtient les heures que l’on désire. Un homme politique de premier plan n’a-t-il pas déclaré dernièrement : « Ma conscience est assez bonne fille pour me dire ce que j’ai envie d’entendre ».
Le soleil qui illumine le cadran solaire d’un croyant, c’est, bien sûr, la Parole de Dieu, à condition qu’elle soit reçue et comprise par le Saint-Esprit. C’est en grande partie par la confrontation de la Parole avec les situations dans lesquelles nous nous trouvons que notre conscience s’affine.
Du reste, il peut malheureusement arriver qu’un gros nuage vienne voiler le soleil, par exemple, une mauvaise pensée qu’on laisse se développer jusqu’au point où elle détruit tout discernement du bien ou du mal. Nous en avons un exemple avec un homme de Dieu pourtant remarquable : David, lorsqu’il commit adultère et devint meurtrier d’un de ses fidèles serviteurs.
Que le Seigneur nous accorde d’acquérir une conscience délicate, constamment mise à jour par une réelle et constante communion avec lui !
Je ne me sens coupable de rien ; mais ce n’est pas pour cela que je suis justifié. Celui qui me juge, c’est le Seigneur, 1 Corinthiens 4 : 4.