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Août 1991. En quelques semaines, la cohésion de l’Union Soviétique semble voler en éclat. Les durs du régime résistent pourtant, mais en vain. Alors, l’un d’eux, le maréchal Akhromeev, se donne tragiquement la mort. Sur un papier, il laisse ce message : « Tout ce à quoi j’ai consacré ma vie se détruit ».
Quelle tristesse dans ce constat ! Donner le meilleur de soi-même pour une cause qui s’avère être une mauvaise cause.
Quel est le but de notre vie ? Servons-nous la bonne cause ? Rechercher les richesses, les honneurs, le pouvoir est égoïste et ne sert sûrement pas la bonne cause. Poursuivre l’amitié, la solidarité, l’intégration dans un cercle quelconque est plus généreux, mais correspond en fait à un égoïsme de groupe. Se consacrer à sa famille, à la bonne moralité, aux droits de l’homme, à la défense de l’environnement est plus noble, mais la question demeure : quelle est la véritable bonne cause ? Nous la trouvons en Celui qui est au-dessus de toutes choses. Elle consiste à vivre pour le projet de Dieu, le Bien absolu, qui se concentre en Jésus-Christ.
Vivre pour Jésus est la seule bonne cause et elle rassemble les côtés positifs de toutes les autres. En effet, Jésus-Christ est à la fois le modèle de la plus haute moralité, le plus grand libérateur des hommes et Celui qui apportera la paix et l’harmonie sur la terre. Il a les promesses du présent et du futur. Confions-lui la direction de notre vie.
Je sais en qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’Il a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à ce jour-là, 2 Timothée 1 : 12.