Ce que vis la jeune chinoise.

Ce que vis la jeune chinoise !

A Pékin, près de Notre poste missionnaire, nous avions notre voisine, une dame veuve qui vivait avec ses trois filles.

La plus jeune qui avait 17ans environ était atteinte de tuberculose pulmonaire. On entendait dans le silence à travers la porte, la respiration courte de ses poumons rongés de maladie comparable au froissement de papier de soie. Dans ses derniers moments, sa mère et ses sœurs se tenaient à son chevet et pleuraient. Tout semblait fini. Pendant quelques instants, la mère au cœur brisé donna libre cours à sa douleur.

Et soudain, la mourante ouvrit les yeux et s’écria avec un visage resplendissant de joie et de paix : je suis revenu pour vous dire que j’ai vu le ciel. Oh c’est merveilleux, c’est merveilleux, j’ai vu le seigneur Jésus, et elle mourut.

Plus tard, en faisant allusion à ces moments, la mère nous disant, je ne pouvais plus prier mais seulement louer Dieu. Plusieurs fois, des chrétiens chinois qui avaient été témoins de la mort de parents ou d’amis chrétiens, nous ont dit qu’il leur semblait avoir un avant goût de quelque chose de merveilleux juste avant de franchir le seuil.

L’Évangile de Jean au chapitre 14 verset 2 nous dit : il y’a plusieurs demeures dans la maison de mon père, si cela n’était pas je vous l’aurai dit. Je vais vous préparer une place.

Jean-Louis Gaillard
www.www.365histoires.com
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